Tout cela est insensé, et certainement pas équitable. Les entreprises ne devraient pas bénéficier de traitement de faveur au détriment des citoyen-ne-s canadien-ne-s sur des enjeux qui ont un impact direct sur leur vie quotidienne. Une nouvelle législation pour les organismes de bienfaisance devrait améliorer la capacité des citoyen-ne-s à participer au développement des politiques publiques, en permettant aux organismes qu’ils soutiennent de défendre librement ces enjeux en leur nom.